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Nina Virus  

PARIS — BREMEN  

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NVStudio c'est — Nina Virus, Graphiste / Directrice artistique indépendante

Rome, Londres puis Paris > Plusieurs villes, plusieurs centres d’intérêts. Débutant dans l’architecture d'intérieure en passant par le design pour atterrir dans le graphisme, j’ai construit ma vision de la communication sur un chemin continu, mais pas linéaire. Directrice artistique au sein d’une Agence Web à Paris, puis DA / Graphiste freelance, je suis aussi à l'aise sur des grands comptes comme sur des budgets réduits d'une "start up", ou des projets de particuliers. Je profite aujourd’hui d’une valise riche en expérience tout en continuant de "voyager" et d’évoluer. Les différentes haltes m'ont permis d’élargir mon horizon et de développer une expertise et un savoir-faire transversal. Je suis une inconditionnelle du design « utile » et je m’adapte facilement aux différents besoins de mes clients et de leurs projets. Une analyse rapide et précise du dossier me permet de trouver des solutions créatives pertinentes et adaptées sans détour. Décalée parfois, rigoureuse et sérieuse, j'apprécie les clients collaborateurs.

Je suis mon instinct — Une phrase qui me ressemble et dont j'aime le double sens ... Ce n'est pas toujours qu'elle trouve la place qu'elle mérite, mais je la garde dans mon esprit quand je travaille. Bien sur l'instinct n'est pas tout, l'analyse du marché, l'environnement sociale & culturel, ainsi que le but à atteindre de chaque projet -  aussi divers et variés qu'ils soient - interviennent dans toute décision créative. Mais l'idée de l'instinct me plaît, ce petit moment ou une première "vision" s'inscrit dans ma tête en parlant d'un projet à venir: l'ambiance visuelle, la colorimétrie, une typographie ...

Il est là, l'instant ou tout commence, ou l'expression artistique débute, ou les mots deviennent "visible", ou un concept devient "forme" ...

 

Sans aucun doute c'est également l'instinct qui me pousse à appuyer sur le déclencheur de mon appareil photo lors de mes voyages, en captant ainsi ma version d'un lieu jusqu'alors inconnu à mes yeux  ...

Je parle allemand, français, italien et anglais, ce qui me permet d'être à l'aise sur des projets à l'étranger et / ou destiné à une cible étrangère en France.

LE FREELANCE — C'EST QUOI ?

Qu’est-ce qui fait le tarif du freelance ?

Source - Kit de survie du créatif par Julien Moya

Un freelance n’est pas un « salarié sans patron », mais une entreprise sans salariés, avec les mêmes contraintes et obligations que toute entreprise.
Personne ne songerait à s’octroyer les services d’une entreprise pour le prix d’un salaire, et pourtant certains clients semblent avoir du mal à comprendre les tarifs proposés par les freelances. Ils font des additions hâtives, oublient les trois quarts des données, et les comparent aux salaires de leurs employés, ce qui n’a évidemment aucun sens.

Le freelance supporte à sa charge le coût de :

  • ses cotisations sociales, sa retraite, ses assurances, sa formation, sa médecine professionnelle ;

  • tous les frais professionnels : matériel, licences de logiciels, local professionnel, mobilier, électricité, téléphone, connexion Internet, transport et véhicules…

Il gère également lui-même :

  • les démarches administratives imposées par son statut ;

  • la comptabilité de son activité ;

  • la veille technologique ;

  • etc.

En entreprise toutes ces cotisations, charges, démarches et compétences nécessaires existent aussi, et font partie du coût direct et indirect d’un employé, même si elles n’apparaissent pas sur sa fiche de paye. Un employé et son entretien coûtent donc beaucoup plus cher à son entreprise que son seul salaire (en général c’est autour du double si on compte l’ensemble des charges et taxes patronnales).
C’est pourquoi on ne peut pas comparer le tarif d’un freelance, qui englobe toutes ces charges, au salaire d’un employé, qui ne représente qu’une petite partie de son coût réel.

Le freelance est à la disposition du client, il commence quand le client le demande, il s’en va quand le besoin est rempli, aucun engagement d’aucune sorte ne lie le client au prestataire sur la durée et rien ne force le premier à rémunérer le dernier s’il n’a plus besoin de lui.

De fait, le freelance n’a ni congés payés, ni assurance chômage, ni indemnité de licenciement, ni prime de précarité, qui sont des avantages salariaux payés par les employeurs. Quand il veut faire un break ou qu’entre deux missions il se retrouve sans contrat, c’est pour sa poche, chaque jour qui passe.

Les avances de trésorerie que le freelance doit constituer pour supporter cette irrégularité des revenus, et pouvoir continuer à proposer ce service au client sans courir à la faillite, justifient une partie de son tarif.
En choisissant un prestataire freelance, le client accède à un service d’une flexibilité et d’une liberté qui n’ont rien à voir avec celles proposées par une embauche. Ce service impose des contraintes lourdes, et se paye en conséquence.

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